Cause Animaux Libres Isère

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Torturer et manger du chien ou du chat nous parait insensé et horrible (et ça l'est) mais il en est de meme pour les vaches, cochons, volailles, poissons, etc... que quotidiennement nous ignorons et laissons périr dans d'horribles conditions.

 

Pourquoi les abattoirs sont-ils si éloignés des villes et pourquoi les camions transportant ces malheureux croisent ils si peu notre chemin ?

 

La pratique de "l'abattage rituel" est une horreur de plus qui s'ajoute à la souffrance extreme endurée par les animaux

et qui est cautionnée par nos politiques frileux qui ne veulent surtout pas être taxés de racisme dans cette société hypocrite 

dans la réalité quotidienne. C'est l'horreur à létat pur.

 

Tout ce qui dérange est soigneusement écarté de nos regards, et nous mêmes ne cherchons pas trop à comprendre. C'est plus facile.

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Selon la réglementation imposée à l’industrie, ces scènes, dignes de films d’horreur, ne devraient pas se produire. Mais elles sont très courantes comme le révèlent nombre d’enquêtes.

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C’est logique : la mise à mort des animaux de rente se fait avec la même cruauté que celle qui préside à leur élevage. Prenez les cochons, par exemple. Ce sont des mammifères sensibles, très sociables et intelligents. Or la vie des cochons d’élevage est une abomination. Peu après leur naissance, leurs queues sont coupées, leurs dents sont meulées, et les mâles sont castrés, le tout sans anesthésie. Sevrés précocement, ils sont ensuite enfermés dans des enclos bondés, où ils peuvent difficilement se déplacer. L’air y est presque irrespirable et ils ne voient jamais la lumière du jour. Quand elles sont en âge d’être inséminées, les truies sont parquées individuellement 24 heures sur 24 dans une cage minuscule où elles ne peuvent pas se retourner. Les conditions sont telles que beaucoup de mâles et femelles meurent avant d’atteindre l’âge de l’abattoir. Quand ce moment est venu, les cochons qui ont eu la malchance de survivre sont entassés dans des camions, où pendant un voyage qui peut durer deux jours, sans alimentation et sans eau, ils doivent faire face à la violence de leurs congénères paniqués. À l’abattoir, saisis de peur, ils refusent d’avancer. Mais, sans pitié, à coups de bâton, les employés ont raison de leur résistance. Avec plus ou moins de succès, ces bonnes âmes tentent ensuite de les étourdir en les électrocutant. L’opération de dépeçage peut ensuite commencer, que les cochons soient conscients ou pas.

 

Encore peuvent-ils s’estimer heureux : les conditions d’élevage des volailles sont pires.

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Face à cette cruauté, le prix Nobel de littérature Isaac Bashevis Singer avait comparé la condition des animaux d’élevage à celle des Juifs dans les camps d’extermination nazis, avec cette différence que pour les animaux l’horreur n’a jamais de fin. 

 

Devant une telle abomination, il y a en gros 4 attitudes.

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1. La première consiste à fermer les yeux sur la souffrance animale. C’est l’attitude la plus communément adoptée.

2. La deuxième consiste à prôner l’élevage traditionnel, plus respectueux du bien-être des bêtes.

3. La troisième attitude consiste tout simplement à refuser que des animaux soient tués pour être mangés. C’est le végétarisme.

4. La quatrième est de refuser de consommer tous produits d'origine animale car même sans être tués, ils subissent des sévices dès leur naissance, ne voient jamais la lumière du jour, les vaches sont inséminées toute l'année, les moutons sont tondus jusqu'au sang etc..; c'est aussi refuser de porter de la fourrure, du cuir, des produits testés sur animaux.

 

Quelle attitude adopter  ?

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 Pour l'amour des animaux, c'est le quatrième : ETRE VEGAN.